La mobilisation des eaux non conventionnelles au cœur du dispositif national de sécurité hydrique

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La raréfaction des ressources en eau constitue une contrainte majeure à l’échelle mondiale. Le Maroc, également, sous les effets conjugués de la croissance démographique, du développement urbain et de l’irrégularité des précipitations, s’installe durablement dans une situation de stress hydrique.

Alors que la production d’eau potable repose principalement sur les ressources en eaux conventionnelles, des efforts ont été déployés pour tirer parti de ressources non conventionnelles telles que le dessalement d’eau de mer et la réutilisation des eaux usées épurées.

L’amplification du recours à ces eaux alimente le champ de réflexion par de nombreuses questions d’ordre technologique, pour leur développement, d’ordre écologique pour l’appréciation de leur impact environnemental, d’ordre financier pour fournir l’effort d’investissement indispensable et, enfin, d’ordre institutionnel pour garantir une gestion intégrée du secteur.
Autour de ces questions et pour en débattre, l’Institut Groupe CDG et son partenaire le think-tank (Re)Sources, ont réuni :

Taoufik Zerouali Merzouki, directeur général de Novec

Patrice Fonlladosa, président du think tank (Re)Sources

Rémi Bourgarel, président-fondateur de « Services for Environment »

Rajaa Elksabi, ingénieure-experte en gestion des risques d’inondation et planification des ressources en eau, Novec.

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